Le sénateur cumulard Christian
Cambon avait pensé avoir atteint son Graal : accéder à la postérité en
faisant voter un amendement qui porte son nom.
C’est loupé ! Il
croyait avoir fait les affaires des marchands d’eau (bien connus pour les
pots-de-vin) en faisant avaliser son projet de coupure d’eau pour cause
d’impayé(s).
Le Conseil
Constitutionnel a validé l’interdiction totale des coupures d’eau. Cambon,
vice-président du Sedif (le truc qui nous vend de l’eau) est fort contrit de
cet avis du Conseil Constitutionnel. Et son adjoint (futur remplaçant au poste
de Maire) également : il travaille, dit-on, pour un distributeur d’eau.
A la bonne vôtre !
Léa Rahim
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